
🛑 L’Union européenne impose des règles ingérables, même quand ses propres systèmes sont en panne.
✍️ Aujourd’hui, le Parlement européen s’apprête à voter une dérogation temporaire aux règlements Schengen pour éviter que les États membres ne soient sanctionnés… à cause des retards de l’UE elle-même !
📉 Depuis des années, la mise en œuvre du système EES (Entry/Exit System), censé renforcer le contrôle des frontières, accumule les échecs : délais intolérables, bugs à répétition, incapacité de la Commission à tenir ses engagements.
📣 Ce n’est pas aux États membres de subir les conséquences de l’aveuglement technocratique de Bruxelles !
✅ La délégation française du groupe Patriotes pour l’Europe votera pour ce texte de dérogation, pour que nos États ne soient pas pénalisés par des normes absurdes quand l’Europe est incapable de garantir leur application.
🧭 Mais cette dérogation ne doit pas être un cache-misère : nous exigeons un véritable retour de la souveraineté des nations dans le contrôle de leurs frontières.
👉 Soutenez cette position de bon sens : signez la pétition pour exiger une réforme en profondeur du système Schengen !
📩 Ensemble, faisons entendre la voix de ceux qui refusent l’impuissance organisée.
Tous les champs suivis d'une astérisque (*) sont obligatoires.
Accueil » Thèmes » Immigration & Contrôle des frontières »
🛂 Retards en série, chaos aux frontières : l’Union européenne contrainte de reconnaître ses propres échecs.
Alors que l’entrée en vigueur du système européen de contrôle des frontières EES (Entry/Exit System) accuse un nouveau retard, l’Union européenne a enfin admis la nécessité d’une dérogation temporaire à certaines dispositions des règlements Schengen.
📌 Ce texte, que la délégation française des Patriotes pour l’Europe soutient, propose une mise à jour pragmatique des obligations qui pèsent sur les États membres. L’objectif : éviter l’effet domino que provoquerait l’application brutale de normes irréalistes dans un contexte de défaillances techniques persistantes.
🚧 Depuis des années, le projet EES accumule les dysfonctionnements : tests non concluants, coordination chaotique entre États membres, délais intenables pour les opérateurs. En dépit des milliards d’euros investis, la Commission européenne n’a pas su garantir une mise en œuvre efficace. Résultat : les frontières de l’Europe restent poreuses, mal surveillées, et nos pays en première ligne.
🛑 Face à cette situation, nos députés défendent une ligne claire : si le système Schengen ne fonctionne pas, il faut s’adapter. Cette dérogation est une réponse de bon sens. Elle doit permettre aux États de ne pas être pris en otage par l’idéologie technocratique de Bruxelles, et de retrouver une part de maîtrise dans la gestion concrète de leurs frontières.
🇫🇷 Pour la délégation française, ce vote n’est qu’une première étape. Il démontre que le volontarisme finit par imposer le réel dans les débats européens. Mais cette victoire en appelle d’autres : car le droit de chaque nation à contrôler qui entre et qui sort de son territoire n’est pas négociable.